EN CE MOMENT au musée

Heiva Tu’aro Ma’ohi
Nous sommes heureux d’accueillir les jeux traditionnels, Tu’aro Ma’ohi, dans nos jardins les 14 et 15 juillet 2023.
Durant ces deux journées, des visites guidées de la salle permanente seront organisées et un tarif préférentiel vous sera proposé.
Les artistes du Centres des métiers d’Arts seront également présents en salle d’exposition temporaire pour répondre aux questions du public et présenter leur nouvelle exposition HURI
Billetterie
Si vous souhaitez découvrir la culture polynésienne
et vous immerger dans son histoire, n‘hésitez pas à
acheter votre billet pour TE FARE IAMANAHA !
Ressentir
TOUS LES événements
Le Musée de Tahiti et des Îles conserve un tableau représentant la Reine Pomare par Sébastien Charles Giraud. Nous vous proposons d’en découvrir plus sur cette œuvre.
L’Erythrina tahitensis, ’atae ’ōviri, est un arbre endémique à la Polynésie française. Ce spécimen rare situé dans les Jardins de Hiti du Musée de Tahiti et des îles est l’avatar végétal de la baleine.
Le tatouage était particulièrement présent en Océanie. On en retrouve les traces chez les anciens peuples de langues austronésiennes, dont les Lapita.
La reine avait un gout avéré pour les couvre-chefs et le tressage. Deux autres chapeaux similaires, attribués à sa main, sont conservés dans nos collections.
Pour ce week-end, retrouvez des activités pédagogiques pour vos enfants.
Pour poursuivre notre opération quotidienne, nous vous proposons aujourd’hui des activités issues des carnets du Musée de Tahiti pour contribuer à la continuité pédagogique …
Bon courage aux enfants, et à leurs parents !
Les ornements font partie des pièces remarquables que comprennent les collections du Musée de Tahiti et des Îles. Ces objets fascinent pour leur finesse et leur beauté et inspirent encore aujourd’hui les créateurs polynésiens.
Parmi les collections extra-polynésiennes conservées au Musée de Tahiti et des Iles – Te Fare Manaha, figure ce masque Baining kavat de Nouvelle-Bretagne que nous vous proposons de découvrir …
En Polynésie, les pirogues de grande taille étaient généralement doubles ou à balancier. Dotées d’une proue et d’une poupe, elles se déplaçaient dans un seul sens. Elles servaient à naviguer au-delà de la barrière récifale, pour pêcher les grands poissons, transporter les guerriers ou entreprendre des traversées entre les îles. Les pirogues de taille plus modeste, utilisées pour la pêche lagonaire et le transport, étaient à simple balancier et propulsées à la pagaie ou à la voile.
Les tambours appelés pahu rà étaient originaires des îles Australes, notamment de l’île de Ra’ivavae. Une sculpture ciselée et ajourée de personnages schématisés alternant avec des motifs géométriques et d’arcs de cercles caractérise le style de cette l’île.
Mālō ‘etau lava ! Parmi les collections que nous avons la chance de conserver au Musée de Tahiti et des Iles – Te Fare Manaha, se trouvent des tapa (étoffes d’écorce battue) de différentes provenances. Nous nous attarderons aujourd’hui sur ces deux pièces, originaires de l’archipel des Tonga. Si « tapa » est un terme utilisé ici en Polynésie française, il englobe en réalité d’autres appellations régionales. C’est ainsi le cas du terme siapo aux Samoa, masi aux Fidji, et celui de ngatu que nous emploierons ici pour notre promenade tongienne. Aux Tonga, « tapa » renvoie lui aux bandes non-décorées situées de chaque côté des ngatu.
Découvrez les ivi poo ou poo, ces ornements marquisiens cylindriques en os dont l’appellation est sujette à variation voire controverses, et qui étaient portés principalement par les hommes, en collier, autour de mèches de cheveux, ou servaient de décor pour de nombreux objets. C’est le cas des contenants de bois comme les ipu hue – gourdes ; des pū – conques d’appel, et notamment des pū toka / pū tona les plus collectées ; ou encore des pahu – tambours ou des manches de tāhii – éventails.
Nous vous proposons aujourd’hui d’évoquer l’exposition « TAPA d’hier et d’aujourd’hui » qui s’est déroulée de novembre 2014 à février 2015, au Musée de Tahiti et des îles – Te Fare Manaha, conçue en co-commissariat par Michel Charleux et Tara Hiquily.
I Pātītifa te ‘autara rahi roa a’e, te pū ia. I te mātāmua, nā te mau ari’i nui tē pi’i noa hia « ari’i », e fa’a’ohipa ‘ei pū tari ‘aore rā ‘ei pū nō te fa’a’ara i te huira’atira ‘ia ta’iruru mai. Riro mai nei te pū ‘ei tao’a mo’a nā te ‘ōpū hui ari’i.
Le triton est le plus grand coquillage du Pacifique. Autrefois, les grands chefs appelés ari’i l’utilisaient comme conque d’appel ou pū pour prévenir la population de se rassembler. Le pū était alors un objet sacré, détenu uniquement par les ari’i.
Le Musée de Tahiti et des Îles conserve un tableau représentant la Reine Pomare par Sébastien Charles Giraud. Nous vous proposons d’en découvrir plus sur cette œuvre.
L’Erythrina tahitensis, ’atae ’ōviri, est un arbre endémique à la Polynésie française. Ce spécimen rare situé dans les Jardins de Hiti du Musée de Tahiti et des îles est l’avatar végétal de la baleine.
Le tatouage était particulièrement présent en Océanie. On en retrouve les traces chez les anciens peuples de langues austronésiennes, dont les Lapita.
La reine avait un gout avéré pour les couvre-chefs et le tressage. Deux autres chapeaux similaires, attribués à sa main, sont conservés dans nos collections.
Pour ce week-end, retrouvez des activités pédagogiques pour vos enfants.
Pour poursuivre notre opération quotidienne, nous vous proposons aujourd’hui des activités issues des carnets du Musée de Tahiti pour contribuer à la continuité pédagogique …
Bon courage aux enfants, et à leurs parents !
Les ornements font partie des pièces remarquables que comprennent les collections du Musée de Tahiti et des Îles. Ces objets fascinent pour leur finesse et leur beauté et inspirent encore aujourd’hui les créateurs polynésiens.
Parmi les collections extra-polynésiennes conservées au Musée de Tahiti et des Iles – Te Fare Manaha, figure ce masque Baining kavat de Nouvelle-Bretagne que nous vous proposons de découvrir …
En Polynésie, les pirogues de grande taille étaient généralement doubles ou à balancier. Dotées d’une proue et d’une poupe, elles se déplaçaient dans un seul sens. Elles servaient à naviguer au-delà de la barrière récifale, pour pêcher les grands poissons, transporter les guerriers ou entreprendre des traversées entre les îles. Les pirogues de taille plus modeste, utilisées pour la pêche lagonaire et le transport, étaient à simple balancier et propulsées à la pagaie ou à la voile.
Les tambours appelés pahu rà étaient originaires des îles Australes, notamment de l’île de Ra’ivavae. Une sculpture ciselée et ajourée de personnages schématisés alternant avec des motifs géométriques et d’arcs de cercles caractérise le style de cette l’île.
Mālō ‘etau lava ! Parmi les collections que nous avons la chance de conserver au Musée de Tahiti et des Iles – Te Fare Manaha, se trouvent des tapa (étoffes d’écorce battue) de différentes provenances. Nous nous attarderons aujourd’hui sur ces deux pièces, originaires de l’archipel des Tonga. Si « tapa » est un terme utilisé ici en Polynésie française, il englobe en réalité d’autres appellations régionales. C’est ainsi le cas du terme siapo aux Samoa, masi aux Fidji, et celui de ngatu que nous emploierons ici pour notre promenade tongienne. Aux Tonga, « tapa » renvoie lui aux bandes non-décorées situées de chaque côté des ngatu.
Découvrez les ivi poo ou poo, ces ornements marquisiens cylindriques en os dont l’appellation est sujette à variation voire controverses, et qui étaient portés principalement par les hommes, en collier, autour de mèches de cheveux, ou servaient de décor pour de nombreux objets. C’est le cas des contenants de bois comme les ipu hue – gourdes ; des pū – conques d’appel, et notamment des pū toka / pū tona les plus collectées ; ou encore des pahu – tambours ou des manches de tāhii – éventails.
Nous vous proposons aujourd’hui d’évoquer l’exposition « TAPA d’hier et d’aujourd’hui » qui s’est déroulée de novembre 2014 à février 2015, au Musée de Tahiti et des îles – Te Fare Manaha, conçue en co-commissariat par Michel Charleux et Tara Hiquily.
I Pātītifa te ‘autara rahi roa a’e, te pū ia. I te mātāmua, nā te mau ari’i nui tē pi’i noa hia « ari’i », e fa’a’ohipa ‘ei pū tari ‘aore rā ‘ei pū nō te fa’a’ara i te huira’atira ‘ia ta’iruru mai. Riro mai nei te pū ‘ei tao’a mo’a nā te ‘ōpū hui ari’i.
Le triton est le plus grand coquillage du Pacifique. Autrefois, les grands chefs appelés ari’i l’utilisaient comme conque d’appel ou pū pour prévenir la population de se rassembler. Le pū était alors un objet sacré, détenu uniquement par les ari’i.